Ministre de l’économie en 1981, dit favori à la présidentielle de 1995, il renonce et impose le respect. Deux générations nous séparent mais il inspire. Je retiens, évidemment son engagement pour l’Europe mais surtout sa moralité ; celle que bon nombre d’entre nous souhaitons de nos politiques, celle d’un social démocrate, un politicien d’une gauche modérée et rigoureuse.
« Sans perdre mon âme, si je peux être utile »…